consultation / psychothérapies / hypnose / orne / alençon
Comment se passe une consultation avec
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Thierry ZALIC
Psychologue clinicien / Hypnothérapeute
Thérapies brèves orientées solutions
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Membre accrédité de l’European Society of hypnosis depuis 2011
formateur / conférencier
sur le thème de l’hypnose quantique.
06 81 66 75 00
ESH sarthe/ Alençon
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NOUVEAU : TELECONSULTATIONS
Explication d’une première séance, vu de deux côtés.
Première séance : une séance toujours longue, qui atteint souvent 1 h 30.
Ca y est. J’ai téléphoné. Qu’est-ce qui va m’attendre ? Vais-je aller mieux ? Et puis, c’est quoi l’hypnose exactement ? Quelqu’un m’a dit qu’il a été guéri rapidement, oui mais c’est peut-être plus grave pour moi, et comment être sûr ? Ca y est, c’est fait, je vais y aller.
Les mots seuls ne peuvent pas exprimer le contenu d’une séance. L’important est autour des mots, en premier dans la relation qui se noue.
Ainsi les explications qui suivent peuvent paraître compliquées alors que souvent tout coule de source dans la séance.
Nul n’a besoin d’intelligence. Il faut seulement désirer sortir d’un état aujourd’hui insatisfaisant. Et pour cela, au bout d’un moment, faire confiance.
consultation
Arrivée, temps 1
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Ca y est, je suis là. La salle est belle, grande, il y a des glaces, des poutres. Il me dit de m’installer. Attend-il que je parle, que doit-on dire, faut-il raconter sa vie. Il me rassure, me dit que je peux me détendre, ou non, que j’ai le choix, et surtout que l’on a du temps.
Je dis des mots, il en reprend certains, et déjà je ne suis plus si certain de ce que je dis, de ce que je crois. Il me dit que toutes mes histoires d’enfance ne sont pas obligées d’être importantes, que je peux être un autre. Oui, mais comment ? Et peu à peu ça vient. Je ne comprends plus pourquoi tout cela a eu tant d’importance.
Même si chaque séance est unique, il est possible de présenter un canevas qui se produira, ou ne se produira pas.
Qu’il y ait hypnose ou pas, le patient entre dans un univers hypnotique obligatoirement ouvert.
Il pénètre comme dans la boîte d’un « magicien » d’où il pourra ressortir transformé, complètement ou partiellement, devenir un autre, ou pas, à partir d’un temps zéro qui est celui de son entrée dans cette boîte magique.
Si le patient sait comment il entre, il ne sait pas encore comment il sortira.
Faire le pas, entrer, prendre le risque, du changement.
Ainsi la séance est partie, même si elle a déjà commencé à la prise de rendez-vous.
Temps 2
Je me sens à l’aise. Parfois un peu moins, mais plutôt oui. Je dis des choses dont je n’ai jamais parlé, avec facilité, j’ose tout dire, et il écoute à la fois comme si c’était naturel, que ça avait de l’importance pour moi, certes, mais en même temps que ça peut n’avoir aucune importance.
C’est une question de choix dit-il. Facile à dire ! Et puis oui, à un moment, je commence à comprendre que je peux avoir le choix. Que déjà, en venant ici, j’ai eu le choix, j’ai commencé à réorienter ma vie.
Le patient n’est pas obligé de savoir ce qui se passe.
À partir de petits changements dans son discours suggérés par le thérapeute, d’un mot changé, d’un aiguillage, d’un temps présent mis à l’imparfait, la réalité décrite prend d’autres formes, des réussites émergent quand seules apparaissaient des échecs, la lumière change d’intensité, des concepts avancés paraissent peut-être irréalistes puis prennent forme au point que le patient se demande comment il ne les a pas eus plus tôt.
Tout cela peut être, ou non, comme toujours, car on est dans un univers impalpable où chaque mot émis est d’une très grande précision dans un discours qui approche une très grande exigence, même s’il a l’air de rien. Alors approche le temps d’un Temps 3 où l’on va décrocher du verbe pour approcher le corps, même si les deux sont liés.
Temps 3
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Ca y est, je suis ma respiration, c’est-à-dire que je la suis, et que je deviens elle, et l’oxygène suivi commence à estomper ma douleur, ou mes regrets, ou ma noirceur.
Quelque chose commence à se passer, sans les mots, en suivant les petits changements de mon corps, au niveau de la chaleur, ou des odeurs, ou des sons.
Comme dans un rêve, ou sur écran, et un chemin du possible s’étend, un peu cotonneux, très clair ou plutôt sombre, et j’y descends ou j’y monte. Enfin la paix. Ca faisait si longtemps.
L’hypnose se formalise. Le patient teste sa plasticité, le niveau de ses facilités ; quoiqu’il fasse, il réussit.
S’engagent des allers-retours entre quatre hémisphères composés des deux cerveaux, rationnel et émotionnel, du patient et du thérapeute. Même si l’un guide l’autre, les deux s’oublient et se retrouvent.
Se tisse alors une nouvelle perception, et un premier apprentissage de l’autohypnose pour le patient, en sachant que chaque exercice répété rendra plus facile l’expérience.
Le temps passe très vite. On pourrait croire qu’1 h 30, c’est long, pourtant l’intention et le plaisir sont toujours là. Du moins, la plupart du temps.
Vidéo
https://www.youtube.com/watch?v=G0kNWMr8LqQ&feature=youtu.be
Un son. Une ambiance. Ceci n’est pas une séance.
Une imprégnation tout au plus, réalisé dans les conditions du direct, sans note ni reprise.
Pour en savoir plus, voir
Livres
Hypnose quantique: Le choix d’être bien
Quantum Land : Exercices de bien-être pour enfants de tous âges
La Joie : Exercices de bien-être pour adultes
Site pour les livres: http://hypnose-quantique.jimdo.com/
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Hypnose quantique: Le choix d’être bien
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